« Quand la République est en danger, on sait sur qui on peut compter ». Quelques heures à peine après l’annonce de la dissolution, une centaine de personnes, venant de tous les territoires de la 6e circonscription, ont répondu à l’invitation lancée par Mélanie Thomin. Socialistes, communistes, écologistes, insoumis, régionalistes se sont retrouvés à Daoulas avec la ferme intention de l’emporter le 7 juillet.
« La campagne va être courte et intense » a prévenu la députée. D’où l’importance de mobiliser rapidement toutes celles et tous ceux qui se reconnaissent dans le Front populaire.
« Nous n’aurons que quelques jours pour convaincre que nous pouvons incarner l’alternative » a insisté Mélanie Thomin. « Dans cette période, nous devrons tout à la fois, faire partager notre enthousiasme et notre détermination et porter un message d’apaisement alors que nous voyons bien que notre société sort fracturée de 7 ans de macronisme. »
Les Françaises et les Français attendent des réponses claires sur le renforcement des services publics, de santé ou d’éducation, sur la réduction des inégalités et la justice sociale et sur la démocratie. C’est autour de ces thématiques que la candidate articulera son message en direction de toutes les électrices et de tous les électeurs.
Arrachée à Richard Ferrand il y a deux ans, la 6e circonscription entend bien rester à gauche. Forte de son bilan d’élue et du projet du Front Populaire, Mélanie Thomin s’engage dans cette campagne avec la ferme intention de continuer à la représenter après le 7 juillet.